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Magazine Vivre+ – édition du mois de mai 2021

Consultez le magazine Vivre+ ici.

Dans ce numéro :

P.2  Mot du président
P.3  Éditorial
P.4  Des données sur la COVID-19
P.5  Le budget fédéral
P.6  Pour ne pas perdre la boule
P.8  Devenez bénévole
P.9  Service juridique aux personnes âgées
P.11 Le clin d’oeil d’Anne Patenaude
P.12 Chez nous on dit…
P.13 Senior informatique
P.14 L’appétit : signe de vie!
P.16 De fil en aiguille
P.17 Vêtement Jonick
P.18 Roman où le lecteur est un confident
P.19 Une croisière en Méditerranée
P.22 Suivez la guide de Toronto
P.26 Spectacle du temps des sucres
P.27 Le Canal Vivre+
P.28 Échange avec le député Francis Drouin
P.29 Activités virtuelles gratuites
P.30 Retraite en action
P.31  Retraite active de Peel
P.32  Café virtuel de Muriel
P.33  Programmation de mai 2021
P.34  Série webinaires du CMDO
P.39  Activités pour grands-parents
P.40  Aînées LGBTQ
P.42  Bénévoles en matière d’impôt
P.43  Une nouvelle coordonnatrice
P.44  L’équipe FARFO
P.45  l-express.ca pour les élèves
P.46  Merci à nos collaborateurs

CONSULTANT DE PROJET — POSTE CONTRACTUEL À TEMPS PARTIEL

Compassion Ottawa (CO) est à la recherche d’un(e) consultant(e) de projet pleinement bilingue pour réaliser l’analyse de documents préexistants écrits et en ligne afin de rédiger et de mettre à l’essai des documents adaptés pour « Le défi de vivre avec le deuil et la perte », un projet financé par le programme fédéral Nouveaux Horizons pour les aînés. Le consultant travaillera aussi avec la coordonnatrice des programmes de Compassion Ottawa pour recruter des bénévoles francophones et anglophones qui animeront des ateliers dans la communauté. Ce poste, situé à Ottawa, débutera à la fin du printemps 2021. Le contrat sera pour environ 12 jours de travail.

Modalités du contrat

Rémunération : environ 10 000 $

Soumettre votre expression d’intérêt : veuillez envoyer votre lettre d’intérêt et votre curriculum vitae à jena.compassionateottawa@gmail.com

Les candidatures seront acceptées jusqu’au mardi 25 mai 2021

Lire la description du projet ici.

Déclaration de la FARFO à la suite du dépôt du Budget 2021 de l’Ontario

OTTAWA, le 25 mars 2021 – « La Fédération des retraités et des aînés francophones de l’Ontario (FARFO) accueille favorablement les investissements du gouvernement de l’Ontario pour protéger et promouvoir la sécurité, la santé et la vie active des personnes aînées de la province. Nous reconnaissons que le gouvernement de l’Ontario a déployé de grands efforts dans sa réponse à la COVID-19 et nous
saluons particulièrement les investissements importants pour augmenter les espaces pour les personnes aînées francophones dans les établissements de soins de longue durée.

Si la FARFO avait souhaité voir plus d’investissements dans les soins à domicile et dans un continuum de services à l’intention des francophones, nous soulignons les nouveaux crédits d’impôt que pourront accéder celles et ceux qui peuvent se permettre de faire des rénovations nécessaires pour promouvoir la sécurité chez soi. Par ailleurs, les investissements dans les services paramédicaux communautaires auront, eux aussi, un impact positif et nous souhaitons voir une stratégie de recrutement de main d’œuvre d’expression française au sein de ces professions.

Le FARFO continuera de s’engager auprès des communautés, des partenaires et des gouvernements afin de promouvoir un continuum de services qui favorise le vieillissement actif et le bien-être des personnes aînées francophones dans toutes les régions de l’Ontario, dont les services de soins de longue durée font partie. Nos réseaux demeurent prêts à appuyer le gouvernement de l’Ontario dans ses démarches
pour rejoindre les aînés francophones ayant besoin d’accès aux services de bien-être et de santé. Nous sommes également reconnaissants des investissements soutenus pour les communautés francophones, en continuant d’investir dans le programme de Fonds de secours pour les organismes francophones sans but lucratif et en prenant plus de mesures pour soutenir une stratégie de développement économique francophone à long terme. Nous nous réjouissons également des fonds additionnels qui seront ajoutés au Programme d’appui à la francophonie ontarienne (PAFO).

Nous sommes impatients de poursuivre notre dialogue avec tous les intervenants dans la province au cours des semaines et des mois à venir, afin de nous assurer que nous tirons parti des possibilités offertes par le gouvernement de l’Ontario en ce qui concerne les personnes aînées et les retraités francophones et pour miser sur la création d’un réel continuum de service adapté à leurs réalités et à leurs régions. »

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Au sujet de la FARFO
Depuis plus de 40 ans, la Fédération des retraités et des aînés francophones de l’Ontario (FARFO) se consacre à aider les francophones de 50 ans et plus, vivant en Ontario. Plaque tournante des ainés francophones de la province, la FARFO compte plus de 10 500 membres en Ontario et est bien connectée dans divers secteurs.

Pour plus d’information, veuillez communiquer avec :
Gilles Fontaine , Direction générale
Courriel : communications@farfo.ca
Téléphone : 1-800-819-3236 poste 2051

Pour la version PDF de ce communiqué:

https://farfo.ca/wp-content/uploads/2021/03/25-mars_Declaration_FARFO_Budget.pdf

Déclaration à la suite de l’annonce du gouvernement de l’Ontario sur les soins de longue durée

OTTAWA, le 18 mars 2021 – « La Fédération des aînés et des retraités francophones de l’Ontario (FARFO), accueille l’annonce du gouvernement de l’Ontario pour 80 projets dans les centres de soins de longue durée qui permettra d’ajouter 7 500 nouvelles places et d’en moderniser 4 197. Nous nous réjouissons que près de 10 % de ces places soient identifiées pour accueillir des francophones. C’est un gros pas dans la bonne direction.

Cette annonce vient appuyer directement des recommandations faites par la FARFO et l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO) dans le cadre du Livre blanc sur le vieillissement des francophones en Ontario. Nous remercions le gouvernement de l’Ontario pour être à l’écoute de nos communautés et de prendre action et nous soulignons le travail des organismes francophones qui ont présenté des projets de qualité.

Si ces places francophones sont concentrées dans les grandes villes, c’est pour reconnaître le besoin grandissant de ces municipalités dans lesquelles la population d’aînés francophones continue d’augmenter. Les ainés, leurs familles et leurs proches aidants dans ces régions sous-desservies, auront plus d’options près de chez eux pour accéder aux services dont ils ont besoin.

La FARFO continue de s’engager auprès des communautés, des partenaires et des gouvernements pour promouvoir un continuum de services qui vient appuyer le vieillissement actif et le bien-être des ainés francophones dans toutes les régions de l’Ontario dont les services de soins de longue durée en forment une partie. Au cours des semaines et des mois à venir, nous profiterons des occasions que nous offre le gouvernement de l’Ontario de continuer de faire valoir les priorités exprimées et recensées des ainés et des retraités francophones de l’Ontario. »

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Au sujet de la FARFO
Depuis plus de 40 ans, la Fédération des ainés et des retraités francophones de l’Ontario (FARFO) se consacre à aider les francophones de 50 ans et plus vivant en Ontario. Plaque tournante des ainés francophones de la province, la FARFO compte plus de 10 500 membres en Ontario et est bien connectée dans divers secteurs. La FARFO gère des programmes allant du bien-être à l’immigration et offre des services de consultation dans les communautés de l’Ontario grâce à ses tables rondes et ses initiatives de communications novatrices.

Pour plus d’information, veuillez communiquer avec :
Gilles Fontaine
Direction générale
Courriel : communications@farfo.ca
Téléphone : 1-800-819-3236 poste 2051

Pour la version PDF de ce communiqué:
https://farfo.ca/wp-content/uploads/2021/03/Décaration_annonce-SLD_18032021.docx.pdf

Café-causerie avec Dyane Adam : notes de la présentation par Denise Lemire

NOTES DE LA PRÉSENTATION ET DISCUSSION

Rédaction par Denise Lemire, Membre du Centre-Pauline-Charron

  • Dyane Adam, présidente du Conseil de gouvernance de l’Université de l’Ontario français
  • Animation par Madeleine Meilleur, directrice générale par intérim du Muséoparc Vanier
  • Mot de bienvenue et présentation de Dyane Adam par Madeleine Meilleur

Présentation de Dyane Adam

Depuis presque 50 ans, la communauté revendique l’université francophone; il y a eu beaucoup de revendications surtout dans le nord de l’Ontario. Depuis quelques années, la population francophone augmente dans la région de Toronto. Il faut maintenir et renforcer le continuum de l’éducation en Ontario français. Il y a maturité de la communauté francophone. Il faut favoriser le développement social de la francophonie ontarienne.

Dyane Adam précise qu’elle a vécu dans toutes les régions de la province et elle s’est aperçue que la réalité de chaque région est très diversifiée; chaque milieu a ses spécificités. Dans le sud de l’Ontario, il y a 13 universités de langue anglaise. Plus d’un tiers des francophones de l’Ontario vivent dans le sud de la province, mais on a seulement 3 % des cours universitaires en langue française. Donc les francophones vont dans les universités de langue anglaise. On perd les francophones. Si on continue, la francophonie va rétrécir de beaucoup. On a besoin de l’université, on doit l’établir, on doit être en relation avec les autres parties de la province.

Dyane Adam siège au Conseil de la gouvernance depuis presque 5 ans; ce devait être un projet de six mois, et elle continue.

Selon Madeleine Meilleure, l’université francophone aidera à freiner l’assimilation. Elle donne l’exemple de Thunder Bay : les enseignants francophones ont fréquenté les programmes d’éducation en anglais et ils ne peuvent pas enseigner dans les écoles françaises; on a peu de spécialistes dans nos garderies, car il n’y a pas de formation en français comme spécialité. Elle pourrait donner encore plus d’exemples. Le nombre de francophones diminuent toujours. Il faut donc des institutions pour aider à contrer l’assimilation. Et ce n’est pas juste à Thunder Bay que ça se passe. Les gens bilingues sont recherchés, donc l’université francophone pourrait aider même au niveau économique.

Dyane Adam : Le Conseil de gouvernance a choisi Toronto parce qu’il y a un besoin énorme de gens bilingues, par exemple, les grosses compagnies, qui sont un pouvoir d’attraction important et intéressant. Il y a clairement un besoin. Il y a des étudiants francophones qui n’ont pas de débouchés en français. Les gens ne bougent pas, c’est-à dire que les étudiants ne déménageront pas à 200-300 km pour continuer leurs études quand ils sont entourés de multiples universités avec chacune leurs spécialisations.

C’est certain qu’il faut faire des ponts avec les autres universités, faire des collaborations. Cependant, les universités bilingues n’ont pas bien accueilli la mise sur pied de cette université francophone.  Nous visons un projet de modernisation de l’université. On n’a pas choisi l’éducation au niveau de la santé ou autres secteurs scientifiques, car cela aurait été trop coûteux. Nous croyons que l’apprentissage des sciences de l’humanité est la base, apprendre à penser, à analyser, à connaître des champs d’action différents, avoir une perspective globale et connaître les enjeux mondiaux.

Les étudiants doivent apprendre à connaître plusieurs enjeux qui les touchent : 1) la diversité, par exemple, l’immigration et tout ce que ça signifie; 2) l’environnement urbain (transport, écologie) (comment fonctionne la société), il faut qu’ils s’adaptent; 3) le numérique (comment ça influence notre milieu de travail, les liens familiaux); 4) l’économie (nous sommes à Toronto, la francophonie canadienne – c’est quoi?, la francophonie américaine).

Les anglophones de Toronto sont très favorables à la présence de l’université francophone, car ils reconnaissent qu’on en a besoin.

On a besoin de parler d’éducation dans notre propre communauté. Pourquoi les gens doivent-ils s’inscrire à l’université? Réponse : université de petite taille, apprentissage collaboratif, apprentissage en équipe, enseignement théorique, avoir des profs et des intervenants du terrain. On n’a pas l’ambition d’être une grande université, mais d’offrir un apprentissage unique, la possibilité d’étudier en français dans un contexte anglophone.

Selon Dyane Adam, il est difficile d’avoir des compétences en français si on étudie seulement en anglais. Il faut avoir des bulles francophones. Il faut développer une campagne de promotion et un discours. Il faut surtout garder les jeunes dans le continuum francophone le plus longtemps possible et l’université francophone va permettre ceci. L’université francophone offrira des micro programmes, par exemple, pour mettre à niveau les compétences des immigrants, un bac en éducation.

Madeleine Meilleur : qu’en est-il de la controverse sur le manque d’inscriptions d’étudiants prévus pour septembre 2021 (19 à 30 inscriptions)?

Réponse de Dyane Adam : L’université part de zéro. On a eu des retards : le financement est arrivé plus tard que prévu; les programmes ont été adoptés en octobre 2020 (ce qui été aussi plus tard que prévu) – c’est seulement en octobre que nous avons eu le droit de publiciser nos programmes. Ce n’est pas un échec; généralement cela prend deux ans avant de recruter les élèves de 11e et 12e années des écoles secondaires. C’est très irréaliste de dire que c’est un échec. Le site progresse même avec la COVID; la chaine d’approvisionnement a eu un peu de difficulté avec la période de la pandémie. Aujourd’hui, on a 63-67 inscriptions. Dans les universités, quand on part des nouveaux programmes, en moyenne, cela prend trois ans à combler un programme.

Madeleine Meilleur : Félicitations! Dans la tempête, ça réveille les gens, au moins cela vous met sur la plateforme publique (cela fait de la promotion).

Question d’une participante : Les déboires de l’Université Laurentienne me préoccupent – est-ce que tu crois que ça pourrait aider la nouvelle université?

Réponse de Dyane Adam : Je ne sais car je ne connais pas le type d’étudiants, leurs intérêts et besoins. Si l’Université Laurentienne ferme beaucoup de programmes, on pourrait penser davantage à l’enseignement virtuel, mais aussi offrir du sur place. On aimerait avoir une présence physique à Hearst. L’idée c’est de faire rayonner la nouvelle université francophone.

Commentaire de Diane Doré : Il faut engager la communauté. Les jeunes subissent une pression entre choisir l’école francophone ou l’école anglophone. Il faut que le parent soit convaincu. Les graines qu’on a semées, ça perdure. Il est important d’en parler à nos écoles élémentaires et secondaires.  Il faut encrer ce désir de continuer cette francophonie; il faut que les jeunes croient dans cette francophonie.

Dyane Adam présente l’idée future que l’université soit intégrée dans un carrefour de services, qui inclurait La Cité, l’Université de Hearst, les conseils scolaires, d’autres organismes communautaires, etc., afin de créer une synergie.

Question d’une participante : Je suis fascinée par le concept de l’université francophone. C’est un bon modèle pour les générations futures; est-ce que l’idée est basée sur quelque chose qui existait ou est-ce un nouveau modèle et est-ce un concept unique?

Réponse de Dyane Adam : Il y a des petites universités qui ont été créées mais le concept d’université francophone est vraiment basé sur des études sur la société contemporaine, sur la main d’œuvre qui est devenue plus adaptable, sur le caractère de la francophonie ontarienne. On voulait une institution complémentaire et non entrer en concurrence avec d’autres universités. On avait des paramètres tels que tout se passe présentement en milieu urbain, les francophones qui arrivent au Canada préfèrent les milieux urbains. Il y a donc une nécessité que les communautés arrivent au 21e siècle, se modernisent.

Dernière question d’une participante : Je suis déçue que l’université ne soit pas logée dans le nord de l’Ontario. Il est important de ne pas dupliquer les programmes. Ma question : les parents se demandent qu’est-ce que mon enfant va faire avec un bac de je ne sais pas quoi? Qu’est-ce qu’on leur répond?

Réponse de Dyane Adam : Les parents comprennent les bacs de santé qui forment des spécialistes, etc., les bacs en éducation qui forment des enseignants, etc. Nous, on vise le monde qui travaille dans les services tels que les banques, la finance. Ces milieux ont besoin de gens qui peuvent penser et analyser.

Mot final de Madeleine Meilleur : Il y a de l’éducation à faire. La société se transforme rapidement. On recherche des francophones surtout dans la région de Toronto, de la région du Niagara, par exemple il y a beaucoup de travailleurs qui viennent de la France qui voudront envoyer leurs enfants à cette université francophone. Un dossier à suivre.

Merci Dyane pour ta présence. Ce fut fort intéressant et apprécié.

 

UNE ANNÉE DÉJÀ ÉCOULÉE… DIFFICILE À CROIRE !

Le 15 mars 2021 – Bien oui, il y a un an de cela jour pour jour que je vous écrivais pour vous annoncer que suite aux directives de Santé publique Ottawa le Centre Pauline-Charron était fermé jusqu’à nouvel ordre.

Dès les premières semaines de la fermeture, les membres du Conseil et du personnel ainsi que des bénévoles ont travaillé avec diligence afin de pouvoir vous offrir une programmation virtuelle. Dès que nous avons pu augmenter le nombre de personnes sur place, nous avons présenté une programmation à l’extérieure et par la suite certaines activités à l’intérieur avec un nombre limité, toujours en respectant les consignes de sécurité.

À l’occasion de ce premier anniversaire de la fermeture du CPC je veux faire le bilan de ce que nous avons accompli au cours de cette dernière année.  Voici quelques réalisations :

  • Nous avons appris à offrir des activités en mode virtuel, ce qui va être utile même après la pandémie.
  • Nous avons maintenu contact avec vous les membres grâce à un message hebdomadaire vous annonçant la programmation et autres nouvelles.
  • Nous avons communiqué par téléphone avec des membres qui n’ont pas l’internet.
  • Nous avons pu vous offrir des mets pour apporter dès l’été dernier grâce à une équipe de bénévoles.
  • Nous avons lancé en octobre dernier la Cuisine TradPlus et avons embauché en décembre une Cheffe cuisinière pour diriger la cuisine.
  • La Fondation Pauline-Charron a organisé tout de même deux activités de levées de fonds, importantes pour notre bien-être financier, qui ont connu un succès :
    • En juin dernier, en collaboration avec le restaurant Louis’ Pizza, nous avons lancé la vente d’ensemble de pizza pour faire à la maison.  Ceci, tout en aidant un commerçant local a permis de générer plus de 2 500 $ de bénéfice net.
    • En septembre, nous avons tenu le tournoi de golf qui a généré une somme de plus de 18 000 $ pour bénéficier au CPC
    • En décembre, nous lancions la vente des billets pour le tirage du certificat voyage qui a eu lieu le 14 février lors d’un mini-concert virtuel.  Cette activité a généré un bénéfice net de 10 000 $.

CPC 21-03-15 UN AN AVEC COVID-19

 

Léo Lavergne
Directeur général
Le Centre Pauline-Charron

Recommandations en matière d’alimentation saine

Une alimentation saine, c’est bien plus que les aliments que vous consommez. Cela concerne tant la manière dont vous mangez, l’endroit et le moment où vous mangez, que la raison pour laquelle vous mangez.

Prenez conscience de vos habitudes alimentaires

Cuisinez plus souvent

Savourez vos aliments

Prenez vos repas en bonne compagnie

Prenez l’habitude de savourer une variété d’aliments sains tous les jours.

Mangez des légumes et des fruits en abondance, des aliments à grains entiers et des aliments protéinés. Choisissez plus souvent les aliments protéinés d’origine végétale.

Limitez les aliments hautement transformés. Si vous les choisissez, mangez-en moins souvent et en petite quantité.

Faites de l’eau votre boisson de choix

Utilisez les étiquettes des aliments

Restez vigilant face au marketing alimentaire. Il peut influencer vos choix.

 

Référence : https://guide-alimentaire.canada.ca/fr/recommandations-en-matiere-dalimentation-saine

DERNIÈRES NOUVELLES – MONA FORTIER

Consultez les dernières nouvelles de la Députée Mona Fortier (29 janvier 2021)

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